Un tango tangerine pour 2012

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On laisse tomber le rose vieilli à la Mad Men (Pantone 18-2120 Honeysuckle) et on adopte le tango tangerine (Pantone 17-1463 Tangerine Tango). Un beau orange teinté de rouge, puissant et énergisant. Ce document publié par la société Pantone témoigne des couleurs à la mode pour le printemps 2012 et réussi à nous vivifier l’esprit par les couleurs que ses rédacteurs ont sélectionnés et agencées. Exit les gris, les noirs et les bruns!

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18-2120, la couleur de 2011

PANTONE 18-2120 Honeysuckle

Un code incompréhensible qui ne dit pas grand chose. Toutefois, quand on creuse un peu plus loin, on découvre un rose vieilli à la Mad Men… et on aime!

Après Pantone 15-5519 turquoisePantone a dévoilé en décembre dernier ce que sera la couleur de l’année et voilà qu’il y a de quoi réjouir tous les designers et stylistes. Fini les couleurs froides et grises, on s’éclate en 2011 avec du Pantone 18-2120 chèvrefeuille partout!

C’est Noël!

C’est ici, on est enfin rendu à Noël! La joie, la réjouissance, la dinde, le sucrage, l’alcool, les cadeaux, le sapin, la neige, la famille, les amis, les partys… l’abondance de TOUT!

J’y contribue à ma manière comme à chaque année. J’ai fait mes truffes au chocolat, j’ai emballé mes cadeaux. Tout est prêt (sauf moi). À 9h je prends la route avec ma soeur et son fiancé. 6h de route plus tard, et probablement tannés, nous arriverons à Saint-Jacques, N.-B. pour la traditionnelle veillée du 24.

Tel un marathon, ça sera le souper, les cadeaux, la soirée, la messe de minuit (en option) et probablement le dodo ensuite, à moins que le party lève! Le 25, des cadeaux, un souper et le reste de la famille. Le 26, c’est les amis, souper, soirée, alcool. Le 27, on remballe tout ça et on revient à Montréal. Quand je dis marathon, je le pense vraiment. C’est pas des vacances, mais bien la course pour tenter de voir le plus de monde possible dans le temps alloué. J’ai 4 jours pour tout faire, en considérant que je dois aussi y aller et revenir.

Mais détrompez-vous, j’adore Noël. C’est la fête que j’aime le plus dans l’année, probablement plus que ma propre fête ou même celle du Canada! J’aime revoir ceux que je n’ai pas vu depuis un an pour la plupart. Ça fait toujours du bien de se reconnecter, un tant soit peu dans mon cas, avec la famille et les amis d’enfance. Contraintes professionnelles obligent, le temps est limité mais malgré tout très plaisant.

Maintenant le temps de déconnecter, de fermer l’ordinateur, le débrancher et quitter Montréal et son incessant bourdonnement l’instant de quelques jours.

À vous tous, permettez-moi de vous souhaiter de joyeuses fêtes!

La Cravate | The Tie

La population a choisi et voici le résultat du sondage:

Tel que promis, j’ai porté la cravate ayant cumulée le plus de votes. À la question «Lequel des agencements chemise/cravate suivants préférez-vous?», les répondants (n = 42) ont décidé qu’ils préféraient l’option B à 57 %.

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#RKT11

Hashtag, carré, dièse, mot-clé ou pire, un croisillon… peu importe comment vous appelez ça. Le symbole (#) fait partie de notre univers depuis plusieurs décennies déjà et voilà qu’il prend maintenant un tout autre sens avec Twitter. L’OQLF ne s’étant pas encore prononcé, @radio_canada a pris les devants en choisissant « mot-clé ». Après les populaires #FF, #jeudiconfession, #tlmep, j’ai décidé de faire l’utilisation de #RKT11 afin de référencer mes tweets concernant un sujet bien particulier.

Je me permettrai de jouer l’agace en vous disant que je vous donnerai plus détails sur sa signification au début 2011. Une histoire à suivre!

In Flanders Fields

In Flanders fields the poppies blow
Between the crosses, row on row,
That mark our place; and in the sky
The larks, still bravely singing, fly
Scarce heard amid the guns below.
We are the Dead. Short days ago
We lived, felt dawn, saw sunset glow,
Loved and were loved, and now we lie,
In Flanders fields.
Take up our quarrel with the foe:
To you from failing hands we throw
The torch; be yours to hold it high.
If ye break faith with us who die
We shall not sleep, though poppies grow
In Flanders fields.
Lt. Col John McCrae, 3 May 1915

Les Québécois et la bière

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Le professeur nous donne comme projet de session de se trouver une entreprise qui a un problème marketing à résoudre. Cool! Aussitôt que j’ai formé mon équipe, je réalise que je pourrais très bien demander à certains collègues du bureau s’ils ont une question à sonder. En cinq minutes j’ai trouvé la collègue et le problème à résoudre. Presque trop facile. Un rêve.

Il n’y a pas d’ironie dans les derniers mots, j’étais vraiment content de la problématique à étudier. J’y voyais un beau défi à relever. Un beau défi, certes, mais aussi au gros défi. Je n’avais pas très bien évalué le sujet et toute son ampleur. Dès qu’il est question de parts de marché entre deux éternels rivaux, c’est comme si on entre dans une pièce où les murs ont des oreilles. Et de grandes oreilles à part de ça! Enfin, c’est ce que chacun des deux joueurs croit. Tout est caché, secret et hautement confidentiel. C’est même à croire que le SCRS et la CIA ne cachent pas aussi bien leur jeu.

Mon sujet de recherche? La consommation de la bière au Québec. Ça peut vous sembler banal à la base, mais c’est aussi un secret de polichinelle pour les deux plus grands brasseurs au pays. Le premier brasse l’une des bières les plus consommées au monde alors que le second brasse l’une des bières les plus consommées au Québec. Alors, pourquoi celui qui brasse l’une des bières les plus consommées au monde n’arrive-t-il pas à dépasser les ventes de l’autre dans le marché québécois? Mauvaise campagne publicitaire? Mauvais emballage de produit? Mauvais goût? Mauvais prix? Toutes ces réponses? Aucune de ces réponses?

J’ai commencé à sonder le terrain avec un questionnaire. Je prends le pouls de la population et je vous invite à m’aider à répondre à la question. Cliquez sur http://bit.ly/BieresQuebec pour participer à cette recherche. C’est simple et facile et ne prendra que quelques minutes de votre temps… et c’est pour le bien de mes études!

À suivre…

Une promenade la nuit

Montréal est belle le jour, personne ne dira le contraire. Mais ce que seulement les oiseaux de nuit savent, c’est que Montréal est aussi belle la nuit. La pénombre nous arrive maintenant plus tôt et il est possible de voir la ville sous un autre astre en troquant le soleil pour la lune. C’est ce que j’ai fait hier.


Vendredi soir, Montréal sort

19 h. Ça fait déjà une heure que je déambule dans les allées du Indigo sur Sainte-Catherine afin de trouver deux livres pour finalement me rendre compte qu’ils sont 10 $ moins cher sur leur site web qu’en magasin. On replace tout ça gentiment dans les rayons et on va s’aventurer à l’extérieur. Il fait déjà nuit.
19 h 15. Je décide de profiter de ce nouvel éclairage nocturne pour me diriger vers l’est et de respirer la ville. Montréal est si belle la nuit. Elle a une énergie différente du jour et ses acteurs sont aussi différents que ceux qu’on peut y voir à 14 h. Les commerces sont ouverts et on magasine. C’est Sainte-Catherine après tout!

19 h 45. J’entre dans le Quartier des spectacles qui ressemble plus à un champ de bataille qu’à autre chose. On dirait Tchernobyl. On dira Montréal Ville UNESCO de design tant qu’on voudra, mais pour l’instant, c’est surtout Montréal capitale mondiale des réparations. La ville avait besoin de se refaire une beauté et j’ai bien hâte d’y voir la face une fois tout ça terminé.

19 h 55. Je suis devant L’Astral que le souvenir d’Élixir que je veux voir ça fait des semaines me reviens. Je suis aux abords de la fontaine de la Place des Festivals et j’ai souvenir qu’il y a des représentations à 20 h, 21 h et 21 h. C’est donc le temps d’aller prendre place.

20 h. Toutes les lumières autour de la Place des Festivals s’éteignent. Un spectacle doit débuter dans quelques instants.

20 h 02. L’eau, mise en scène par Moment Factory et ses pixels se fait voir dans cette présentation multimédia toute en son et en lumière. Pas besoin de décrire sur des centaines de mots ce que j’ai vu si ce n’est que c’était magique. C’est un spectacle d’environ 20 minutes à voir du mercredi au samedi à 20 h, 21 h et 22 h jusqu’au 9 octobre.

20 h 25. Après avoir abusé de la caméra de mon iPhone, je me remets en marche encore vers l’est. Cette fois-ci, chai latté à la main.

20 h 45. Les enfants s’en vont se coucher et les sorteux commencent à se faire voir. On sort du restaurant, on s’en va prendre un verre chez des amis, on est déjà trop chaud (ou trop gelé)… de quoi en voir de toutes les couleurs.

21 h 10. Après avoir rempli mes yeux et mes oreilles de toutes les couleurs et de tous les sons de la ville, je m’écrase sur un banc d’autobus et je retourne chez moi.

22 h. Pile. J’entre chez moi, m’assieds sur le divan, et m’endors paisiblement devant le téléviseur. Non, ce ne fut pas la soirée la plus excitante de ma vie, loin de là! Mais j’ai quand même passé une belle soirée en ma compagnie (maudit que je m’aime!) et je ne le regrette pas!

http://www.facebook.com/v/507439591324
Élixir, fontaine de la Place des Festivals
17 septembre 2010

Un demi-siècle de musique… live!

J’ai eu la joie d’assister, jeudi dernier, au premier concert en 20 ans à Montréal, de Sir James Paul McCartney. Joie! Paul McCartney, c’est à ce jour 53 années active en musique, un membre honoraire du Fab-Four qu’était les Beatles dans les années 60 et le maître d’oeuvre du groupe Wings. Pour ceux que ça intéresse, c’est aussi l’une des plus importante fortune de Grande-Bretagne et le plus grand compositeur de musique populaire selon Guinness.

 

Que dire de ce spectacle outre que c’était trois heures de musique d’un des pilier de la musique populaire. Let It Be, Hey Jude, Get Back, et autres Back in the U.S.S.R. ont résonnés. Il ne m’en fallait pas plus pour apprécier cette soirée. Pour en ajouter, les artifices ont explosés dans Live and Let Die et les confettis ont rempli l’antre du Centre Bell après que le grand McCartney à brandit un chandail du Canadien à son nom.

Le gars sait faire de la musique et ça parait. C’est un showman accompli et en prime il parle français! Il ne joue peut-être pas deux pianos en même temps comme Gregory Charles, mais il joue de la guitare surement 100 fois mieux que MusicMan.

L’homme a maintenant 68 ans et soyons honnête, il ne pourra pas rouler comme ça encore 30 ans. Alors c’était mon moment pour le voir vivant! J’en ai profité et je pourrai dire que j’ai entendu le créateur des plus grands succès des Beatles en vrai. Et que c’était excellent!